Behind the scenes
Je vous emmène dans les coulisses de la création de Daily Green
Le vendredi, toutes les 2 semaines, 8h00 pétantes recevez la newsletter Daily Green concocté par mes soins sur le thème de la nature en ville 🌿. Cette semaine je vous emmène dans les coulisses de sa création. Pour consulter les éditions précédentes, c’est par ici et pour la recevoir c’est ci-dessous.
J’espère que vous allez bien !
Cette semaine, j’aimerais commencer à partager avec vous les premières lignes de la création d’une nouvelle édition Daily Green. Toutes les 2 semaines, depuis plus de deux ans, je vous propose un condensé de mes lectures, de mes découvertes ou de mes échanges.
Pour vous envoyer Daily Green, j’utilise la plateforme de création de newsletter, Substack. Bien sûr il en existe d’autres comme Revue, Mailchimp, Patreon. Chacun possède sa spécificité, pour certaines c’est un nombre limité d’abonnés en version gratuite (Mailchimp -2000 abonnés max), pour d’autres ce sont des commissions qui diffèrent pour les abonnés payants.
Car si vous n’êtes pas familier de cet univers, sachez que vous pouvez monétiser votre newsletter en la rendant payante. D’ailleurs il y a de très belles réussites, et pour n’en citer qu’une je vous invite à découvrir Snowball sur la finance personnelle. Une version gratuite est proposée, un avant-goût de ce qui vous attend dans la version payante.
Concernant ma veille, mon réseau phare reste Linkedin, sans exclure Twitter et Instagram. En ce qui concerne les outils de veille, j’utilise Instapaper qui me permet de “bookmarker”, mettre en favoris mes lectures, de surligner les passages importants en les annotant si besoin. Enfin pour organiser la veille, Notion centralise mes données. Cette application me permet de commencer la rédaction de la newsletter, de faire la liste des articles ou livres à lire, de définir une to-do list ou encore de manager les projets avec la méthode Kanban (organisation à base de cartes que l’on retrouve sur Trello).
Vous savez à peu près tout (ou presque) sur Daily Green, n’hésitez à me faire part de vos suggestions ou questions.
Quoi de neuf en ville ?
#question: Replacer la nature au cœur de la ville, est-ce LA solution face au dérèglement climatique ? Voilà un article publié dans le cadre des journées de l’Architecture qui commencent aujourd’hui (vendredi 14 Octobre) et se poursuivent jusqu’à dimanche. J’ai retenu deux idées. Pour certains, il ne s’agit pas de renaturer la ville, car la nature a toujours été présente dans l’espace urbain, mais c’est notre façon de l’appréhender qui a changé. Notre vision technique qui réduirait l’arbre à du mobilier urbain (que l’on se doit rapidement d’installer pour répondre à des enjeux quelconques) nous a desservis. Dans la mesure où il ne suffirait pas seulement de végétaliser mais aussi de favoriser “une biodiversité non contrôlée”, en favorisant la diversité des espèces, qui créeront alors des relations entre elles. Pour d’autres, la végétalisation doit se faire à l’échelle de la ville, afin de mieux comprendre le territoire et de préconiser des recommandations avec une grande marge de manœuvre. Et si je devais répondre à la question posée par Marie, rédactrice de cet article, je dirai que la nature au cœur de la ville est l’une des solutions (peut-être la meilleure 😉). On oublierait par exemple notre responsabilité en termes de consommation d’énergie, d’alimentation et de déplacement, pour ne citer que quelques exemples.
#géant Il n’y a pas de doute, en ville, les grands arbres sont indispensables ! La Chaire de recherche sur l’arbre urbain et son milieu de l’Université Laval (Quebec) rappelle l’importance de planter des arbres de grandes tailles. Selon eux, il ne s’agit pas seulement de planter exclusivement des arbres de petites tailles, mais (en plus de protéger les arbres adultes) il faudrait encourager la plantation d’arbres de grande taille. Et les raisons évoquées sont connues et nombreuses, avec par exemple leur capacité à stocker le carbone, et donc à réduire le CO2 dans l’atmosphère, à diminuer la pollution et éviter efficacement le ruissellement des eaux pluviales. En plus, il y a la donnée financière: selon une étude anglaise les bénéfices net de plantation d’arbres de grandes tailles sont de 44 % supérieurs à celui d’une essence d’arbre de taille moyenne, et de 92 % supérieurs à celui d’un arbre de petite essence. Et finalement on en revient à la même conclusion : quelles sont les conditions dans lesquelles les arbres sont plantés (le climat, l’espace, le sol, etc...) ? Respectons-nous assez leur “silhouette”, et reconnaissons-nous la valeur de leurs services écosystémiques? Voilà de quoi alimenter de nombreuses discussions. En, attendant, pensez à suivre le projet 420 arbres.
Mais aussi
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Si vous êtes intéressés par les arbres, je vous invite à vous inscrire à ce Mooc. 30 enseignants-chercheurs et scientifiques issus de disciplines et d'établissements différents participeront à ce projet.
Pour vanter la qualité de ses 260 km de pistes cyclables et encourager les citadins à prendre le vélo Bruxelles Mobilité - Brussel Mobiliteit lance la campagne BrusselsFit, la plus grande salle de sport de Bruxelles. Hilarant… À regarder ici !
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